Plélo,
16 octobre 1915
Maman cherie
J’ai reçu hier ton paquet. Il ne
m’est plus immédiatement utile, puisque ma cantine est retrouvée, mais il
servira toujours.
J’ai maintenant un travail plus
régulier. Ce matin nous avons été pris par la pluie en marche et nous sommes
revenus au logis.
Bien affectueusement à vous
Jean