dimanche 2 décembre 2018

Aux lecteurs du blog

Une trentaine de billets sont encore programmés, allant du récit du défilé de la victoire le 8 décembre 1918 à Strasbourg jusqu'au mariage de Jean Médard et Alice Herrmann le 28 août 1919, une semaine avant la démobilisation de Jean.

A quelques exceptions près, ces billets ne sont plus basés sur la correspondance, mais sur de larges extraits des mémoires de Jean concernant cette période. Leur sommaire donne un avant-goût de ce que furent ces neuf mois.

Pour ceux d’entre vous qui souhaiteraient sans attendre en savoir un peu plus sur ce qu’il est advenu de Jean et des siens après août 1919, vous pouvez dès maintenant cliquer sur Conclusion, le dernier billet prévu (par ailleurs programmé pour une parution le 28 août 2019).


Enfin, en ce moment où s’achèvent pour moi plus de quatre ans de travail sur ce blog et sur son blog frère Correspondance de guerre (pièces jointes), quelques mots personnels.

Ces blogs avaient peu de lecteurs réguliers, même si certains articles ont été beaucoup lus, les uns grâce à des liens publiés dans Pages 14-18 ou ailleurs, d’autres pour des raisons que je ne m’explique pas forcément.

N’ayant pas l’habitude des réseaux sociaux, je n’avais pas souhaité inclure la possibilité d’ajouter des commentaires, mais quand certains parmi vous ont pris directement contact avec moi par courriel, j’en ai toujours été très heureuse.

Je profite de ce billet pour remercier tous ceux qui, chacun à leur manière, ont contribué aux deux blogs, avec des photos, des informations, des témoignages, des éclairages historiques, des pistes de recherche.

Souvent, je me suis posé des questions sur tous les autres, lecteurs silencieux, parfois lointains (les statistiques générées par l’administration du blog permettent de connaître les pays de connexion). Si certains d’entre vous prennent contact avec moi après la lecture de ces lignes, cela me fera plaisir.

Enfin, pour ceux qui liront ces mots dans l’avenir, même longtemps après que ces blogs seront devenus inactifs, sachez que j’accueillerai toujours avec reconnaissance de nouvelles informations, en particulier provenant de familles de personnes ayant côtoyé Jean Médard, mon grand-père, pendant ces années de guerre (ou après).

Hélène Fillet, 24 novembre 2018