7-10-16
Maman chérie,
Voilà 15 jours que nous sommes
engagés ; plus pour longtemps j’espère. J’ai reçu hier tes bonnes lettres
du 1er et 2 octobre. Je comprend ton angoisse de rencontrer Mme
Gétaz, sachant ce que tu sais. Il me tarde de savoir comment cette pauvre femme
a appris la chose et supporte le coup. Dis-lui tout ma sympathie et la profonde
affection que j’avais pour son fils. Je lui écrirai dès que le calme sera
revenu, bientôt j’espère.
Très tendrement
Jean