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| Source : JMO du 132ème R.I. - 27 février 1917 | 
27/2/1917
            Maman chérie  
            Je t’abandonne honteusement depuis
trois jours. Pardonne-moi. Vie très absorbante. Nous voici installés dans ce
petit pays où nous sommes mieux que je croyais d’abord, malgré la quantité de
troupes. Nous faisons un travail de carriers assez interessant. 
Tendresses, tendresses  
Jean
