Autrefois les combats ont été très violents sur
certains sommets, en particulier sur l’Hartmannswillerkopf, qui dresse sa tête
déplumée au milieu des forêts environnantes. Mais même ce secteur est redevenu
calme. En auto, à cheval, à pied, je parcours en tous sens la forêt, qui
prodigue toutes les splendeurs de l’automne.
Mémoires de Jean Médard, 1970
(3ème partie, La guerre)
(3ème partie, La guerre)